Le narrateur vient de lire dans un journal un drame de passion. C'était un homme qui avait tué sa femme, puis qui s'était tué, donc il l'aimait. Et cela rappela au personnage principal (narrateur), un étrange souvenir de chasse, où lui était apparu l'Amour comme apparaissaient aux premiers chrétiens des croix au milieu du ciel. Cette année-là, vers la fin de l'automne, Karl de Rauville, l'un de ses cousins, un barbu de quarante ans, invite le narrateur à venir tuer des canards dans les marais. Arrivé sur le lieu de chasse, le narrateur tira, et tua l'un des deux oiseaux, la femelle, qui volent ensemble. Le mâle continuait de voler au dessus de sa compagne. S'il ne meurt pas tué, l'amour fait qu'il en mourra de chagrin. Alors Karl tira, et ce fut comme si l'on coupait la corde qui tenait cet oiseau suspendu. Le narrateur les mit, déjà froids, dans le même carnier... et il repartit, ce jour-là, pour Paris.
Un garde champêtre, surprend, au bois Champioux, un couple de bourgeois mûrs s'abandonnant à ses instincts. Mme Beaurain et son mari doivent s'expliquer devant monsieur le maire. Mme Beaurain raconte comment elle et son mari se sont rencontrés.
À la saison des neiges, la famille Hauser quitte toujours son auberge de montagne pour se mettre à l'abri dans la vallée de Loëche. Cette année-là, elle laisse derrière elle le vieux Gaspard Hari et le jeune guide Ulrich Kunsi avec Sam, un gros chien de montagne.
Comme tous les mardis, le narrateur, encore enfant, monte dans la lingerie écouter la mère Clochette. Ce jour-là, il la trouve étendue sur le sol. Le médecin, venu constater le décès, nous raconte l'histoire de la belle Hortense qu'on baptisa plus tard Clochette, après son accident.
Pour éviter les rôdeurs galants des villes d'eaux, les maris de la petite baronne Andrée de Fraisières et de la petite comtesse Noëmi de Gardens les ont « enterrées » pour tout l'été dans une maison perdue près de Fécamp. Ne sachant qu'inventer pour se distraire, elles s'organisent un dîner fin, au champagne, et maintenant, un peu grises, elles échangent des confidences sur la manière de conquérir les hommes, dont le valet Joseph.
Le marquis de Fumerol va mourir sans les secours de la religion : un coup terrible pour le comte de Tourneville, homme politique bien en vue. La comtesse, le curé et le jeune Roger partent en croisade pour administrer l'oncle.
Avec un luxe de détails, Mme de Grangerie raconte sa dernière mésaventure : la baronne de Grangerie observe une prostituée qui, de son balcon, invite des hommes dans sa maison par quelques regards complices, un sourire et un fameux signe de tête (d'où le titre de la nouvelle).
Léopold Renard est accusé de la mort d'un homme. ... Le mari voleur veut intervenir mais Léopold le pousse dans l'eau et, le temps que Léopold ne sépare les deux femmes, l'homme s'est noyé. Leopold Renard est accusé de la mort de l'homme mais est finalement acquitté car plusieurs témoins ont approuvé son innocence.
Après avoir cherché, en vain, du travail dans le centre de la France, Jacques Randel, compagnon charpentier, rentre dans la Manche. Il se fait arrêter une première fois par les gendarmes pour vagabondage.
Pendant la guerre de 1870, le jour des Rois, dix hussards investissent le village en ruine de Porterin et bivouaquent dans une maison bourgeoise abandonnée. Bientôt, une oie, avec une fève, rôtit dans la cuisine. « Mais pas de reine, c'est embêtant, ça ! »
On retrouve la marquise de Rennedon et son amie la baronne de Grangerie de la nouvelle La Confidence. La marquise est sauvée : elle tient son divorce...
En famille est une nouvelle de Guy de Maupassant, parue en 1881 . ... Elle met en scène un père de famille, las du quotidien, confronté à la mort de sa mère et aux désirs d'hériter de sa femme.
Un jour de marché dans le bourg normand de Goderville, un paysan, maître Hauchecorne, ramasse un petit morceau de ficelle sous les yeux de maitre Malandain avec lequel il est en conflit. Plus tard, un crieur public fait savoir que quelqu'un a perdu un portefeuille
Deux familles pauvres, les Tuvache et les Vallin, vivent misérablement mais en bonne intelligence dans deux chaumières voisines. Un jour, M. et Mme d'Hubières, qui n'ont pas d'enfant, veulent adopter moyennant finances, le plus jeune fils des Tuvache, Charlot.
Dans un château des pays nordiques, le comte Oluf a un double maléfique. L'histoire de ce double remonte au passé. La mère du héros, appelée Edwige, vivait dans un château ; un soir, un étranger demanda l'hospitalité pour échapper à une tempête, il fut reçu et y resta longtemps.